Par une journée d’hiver brumeuse, notre client Pieter roule sur l’autoroute lorsqu’il se retrouve pris dans une énorme collision en chaîne. Les dommages tant physiques que matériels sont énormes. C’est le moment pour les assurances d’intervenir…
Lors de l’accident, Pieter a eu la « chance » d’être sur le chemin du travail. Une grande partie des dommages a donc été indemnisée par l’assurance contre les accidents du travail. De plus, sa voiture était couverte par une omnium. De ce fait, il n’a pas dû attendre trop longtemps pour être indemnisé, ou discuter des montants à recevoir. Heureusement.
Assurance conducteur
Pieter était particulièrement bien assuré : il avait également une assurance conducteur. Cette police indemnise toujours le conducteur assuré pour les blessures en cas d’accident, même s’il est en tort.
Pieter introduit sa déclaration de sinistre par l’intermédiaire de son courtier en assurances, car l’accident s’est malheureusement soldé par des dommages physiques.
L’assureur conducteur désigne son propre médecin-conseil, qui procède à un examen médical. S’en suit une proposition d’un montant de 3 950 EUR. Une indemnité que notre assuré ne peut accepter.
La proposition, basée sur le rapport du médecin, ne tient pas suffisamment compte de certains facteurs pourtant déterminants pour le montant de l’indemnité à laquelle Pieter a droit.
Il décide alors de faire intervenir DAS Protection juridique
Notre gestionnaire de sinistres reçoit le dossier et examine attentivement tous les arguments. Ensuite, elle demande une expertise médicale à l’amiable, lors de laquelle l’assuré est représenté par un médecin-conseil payé par la DAS.
Conclusion ? Effectivement, l’assureur conducteur a bâclé son travail et n’a pas tenu compte de divers éléments. La proposition transmise à Pieter n’était donc pas correcte. Ainsi, le dommage moral n’a pas été pris suffisamment en compte, le dommage esthétique a été négligé, l’estimation de l’incapacité personnelle permanente était trop faible et la présence d’un enfant à charge n’a pas été prise en considération.
La DAS conteste dès lors la proposition de l’assureur conducteur et réclame une indemnité plus élevée pour Pieter. Un accord à l’amiable est impossible… DAS désigne un avocat.
Résultat ?
Après de longues négociations entre l’avocat de Pieter et l’avocat de l’assureur conducteur, un accord est trouvé. Pieter reçoit finalement 8 776 EUR au lieu des 3 950 EUR initialement proposés ! Soit plus du double…
Une réserve médicale à vie est en outre insérée dans la proposition. Si des problèmes médicaux liés à l’accident se manifestent ultérieurement, le dossier de Pieter auprès de l’assureur pourra être rouvert. De quoi être un peu plus tranquille pour l’avenir.
Notre client Pieter et le courtier en assurances sont très satisfaits. Les honoraires de l’avocat (4 229 EUR) sont couverts par la DAS.
Morale de l’histoire
Être bien assuré est important, l’exemple de Pieter en témoigne. Plus important encore, la possibilité de faire appel à une protection juridique indépendante distincte plutôt qu’à une garantie protection juridique intégrée dans la police Véhicule.
Source : DAS